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Atelier Mojito

L’origine

Il a été créé, selon la légende, par le pirate Francis Drake au XVI siècle. Quand il abordait Cuba, il appréciait de siroter des feuilles de menthes avec du tafia, une sorte de rhum industriel dérivé de la mélasse. C’est pour cela que certains puristes commanderont leur verre avec l’expression « Give me a Drake ! ».

C’est dans le XX siècles que le rhum remplacera le tafia. En 1920, il devient l’emblème de Cuba. Le pays est une immense producteur de canne à sucre. Ingrédient primordiale dans l’élaboration du rhum. L’écrivain Ernest Hemingway ne buvait le sien, à la Havanne, qu’à la Bodeguita del Medio.

Il fera son grand boum en Europe dans les année 1990 suite à une campagne de publicité de la marque Havana Club.

La recette

Cocktail à base de rhum d’origine cubaine, le Mojito s’inspire du Mint Julep. La recette de base est composé de rhum blanc,  de soda, de menthe fraiche, de citrons vert, de sucre et de la glace pilée. Certain y rajoute quelques gouttes d’Agostura. Toujours servi avec deux pailles au cas où l’une d’elle se boucherait.

Les afficionados ne dérogent pas à cette recette. Mais certains apprécient les variantes. On peut donc à loisir modifier la recette en rajoutant certaines saveurs. Mais il y a un ingrédient qu’on ne pourra jamais enlevé. C’est Rhum ! Et de préférence cubain. Les plus pointu en la matière le choisiront de qualité.

L’atelier

L’atelier peut être donné par un mixologue agréé ou d’un bartender d’un établissement de prestige. Certains d’eux sont champion du monde ou du moins au participé à une complétion mondiale. Ce genre de concours est très reconnu par la profession. Observer un maitre mixologue ou un jongleur de bouteilles a un certain charme. Cela éclipserait presque James Bond commandant un Vodka Martini.

L’atelier débute sur une introduction à l’histoire du rhum et de ses différentes qualités. On se penchera plus particulièrement sur la production cubaine. Puis le professeur explique et montre la recette originale. Les participants peuvent s’essayer au cocktail après avoir découvert les différents ustensiles. Habituellement utilisé, nous découvrirons que le pilon, n’est pas toujours d’usage dans l’iles des Caraïbes. Les cubains préférant pressé les tiges de menthes plutôt que pilés les feuilles.

Après cette première introduction, on exposera les différentes variantes. Les mixologues en herbes pourront tester ces dernières ou se lancer dans une création personnelle. Pour ceux qui ne boivent pas d’alcool, des variantes virgin sont également possible. Une fois lancé, même le plus timides deviennent de vrai bartender d’hôtel 5*. Et comme nos professeurs, ils se mettront à raconter des anecdotes qu’on ne peut entendre qu’au coin du bar.

Et finalement James Bond le boit aussi

 

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